Quand on oublie d’où on vient, on prend le risque de rapidement oublier qui on est et où on va.
Si l’Européen moyen examine son ADN ou sa généalogie, je suis sûr qu’elle ou il ne va pas tarder à trouver dans ses veines un mélange des traces de la moitié des peuples de la planète. Ca fait de nous les descendants plus que probables de peuples qui peut-être il y a plus d’un millier d’années pratiquaient une des trois religions monothéistes, et provenaient sans doute de régions aussi différentes que celles qu’on nomme aujourd’hui Syrie, Irak, Suède, Turquie, Grèce, Allemagne, Maroc, France, Tunisie ou encore Palestine, pour n’en citer que quelques unes.
